Parti le 02 juillet
de Cairns, nous redescendons sur Townsville, afin d’emprunter la Flinders puis
la Barkly Highway, cette dernière marquant notre entrée dans le Northern
Territory.
1910 km de trajet....quand même....
En s’écartant de la côte, le paysage ressemble un peu à la savane africaine, et est en partie semi-désertique. Même si la végétation est présente, elle est plus éparse, et moins généreuse. Nous y croisons quelques émeus, de nombreux corbeaux et rapaces. Il y a aussi des vaches, certaines sont renversées le long de la route. Nous sommes davantage attristés par le nombre important de kangourous écrasés sur le bas côté alors que nous n’en voyons aucun de vivant. C’est durant la nuit, qu’éblouis par les phares des véhicules, ils paniquent et se dirigent maladroitement sur la route. Pour cette dernière, c’est tout simplement une quasi ligne droite que l’on voit défiler pendant des heures au volant de notre dévoué Eleven.
Malgré sa linéarité, à certain moment, on en voit pas le bout. Il est possible de conduire des centaines de kilomètres entre deux patelins alors que sur la même distance nous aurions déjà traversé la moitié de la France. Dès lors, s’approvisionner en essence, eau et nourriture devient une réelle anticipation.
En s’écartant de la côte, le paysage ressemble un peu à la savane africaine, et est en partie semi-désertique. Même si la végétation est présente, elle est plus éparse, et moins généreuse. Nous y croisons quelques émeus, de nombreux corbeaux et rapaces. Il y a aussi des vaches, certaines sont renversées le long de la route. Nous sommes davantage attristés par le nombre important de kangourous écrasés sur le bas côté alors que nous n’en voyons aucun de vivant. C’est durant la nuit, qu’éblouis par les phares des véhicules, ils paniquent et se dirigent maladroitement sur la route. Pour cette dernière, c’est tout simplement une quasi ligne droite que l’on voit défiler pendant des heures au volant de notre dévoué Eleven.
Malgré sa linéarité, à certain moment, on en voit pas le bout. Il est possible de conduire des centaines de kilomètres entre deux patelins alors que sur la même distance nous aurions déjà traversé la moitié de la France. Dès lors, s’approvisionner en essence, eau et nourriture devient une réelle anticipation.
ça m'émeut :)
Après tant de kilomètres, une petite pause s'impose " hamac time"
En fin de journée, vers 17H30, le soleil se couche accompagné d’un ciel offrant d’un côté des teintes orangers puis de l’autre côté, des teintes violettes et rose pâles. Puis place à la nuit où des milliers d’étoiles viennent tapisser l’obscurité. Il est environ 19H, après avoir préparé le « repas », et installé la table, nous dînons, sous le plus beau des plafonds.

Magnifique!!!!
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